Jacques Bouveresse, Le langage, la logique et la philosophie
16 octobre 2014, 16:30 - 17:15
Autour de 1914, nouvelles figures de la pensée : sciences, arts, lettres. Colloque de rentrée (16-17 oct. 2014)
Image : Paul Klee, Paysage rocheux (avec palmiers et sapins), 1919, 155, huile et plume
sur carton, 41,8 x 51,4 cm, Centre Paul Klee, Berne, donation Livia Klee
sur carton, 41,8 x 51,4 cm, Centre Paul Klee, Berne, donation Livia Klee
Collège de France
Amphithéâtre Marguerite de Navarre
11, place Marcelin-Berthelot - 75005 Paris
Entrée libre, sans inscription dans la limite des places disponibles
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11, place Marcelin-Berthelot - 75005 Paris
Entrée libre, sans inscription dans la limite des places disponibles
L’année 2014 n’est pas finie, mais les commémorations du centenaire
de la Grande Guerre ont été déjà nombreuses. Le premier conflit mondial
suscite partout un intérêt que l’on n’aurait pas pu prévoir il y a vingt
ou dix ans, comme si, après la disparition des derniers anciens
combattants, on prenait seulement la mesure de la marque imposée par la
guerre sur le siècle qui a suivi.
Tout semble avoir été dit sur les responsabilités dans le déclenchement des hostilités, sur l’horreur des tranchées, sur les mécomptes des traités de paix. Il reste pourtant bien des questions, notamment sur la longue sortie de la guerre.
Le colloque ne traitera pas des événements, largement abordés ailleurs, mais des signes avant-coureurs, des bouleversements advenus lors du conflit, de leurs effets à long terme. L’accent portera sur les ruptures et les reconfigurations dans les sciences, la société, les mentalités, les représentations, la philosophie, les lettres, les arts, qu’elles aient été ou non provoquées directement par la guerre.
Tout semble avoir été dit sur les responsabilités dans le déclenchement des hostilités, sur l’horreur des tranchées, sur les mécomptes des traités de paix. Il reste pourtant bien des questions, notamment sur la longue sortie de la guerre.
Le colloque ne traitera pas des événements, largement abordés ailleurs, mais des signes avant-coureurs, des bouleversements advenus lors du conflit, de leurs effets à long terme. L’accent portera sur les ruptures et les reconfigurations dans les sciences, la société, les mentalités, les représentations, la philosophie, les lettres, les arts, qu’elles aient été ou non provoquées directement par la guerre.
(source: CdF)
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