ISSN : 2269-5990
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samedi 2 juillet 2016

écouter: Jacques Bouveresse, Nietzsche contre Foucault. Sur la vérité, la connaissance et le pouvoir


écouter: Jacques Bouveresse, Nietzsche contre Foucault. Sur la vérité, la connaissance et le pouvoir
La Suite dans les idées par Sylvain Bourmeau, 02.07.2016

Jacques Bouveresse
Nietzsche contre Foucault 
Sur la vérité, la connaissance et le pouvoir
Agone
Bans d'essais
2016

Présentation de l'éditeur
Et si Nietzsche, dont Foucault s’est tant réclamé, parlait souvent contre lui ?
La plupart des expressions typiques de Foucault dans lesquelles le mot « vérité » intervient comme complément – « production de la vérité », « histoire de la vérité », « politique de la vérité », « jeux de vérité », etc. – reposent sur une confusion peut-être délibérée entre deux choses que Frege considérait comme essentiel de distinguer : l’être-vrai et le tenir-pour-vrai. Or peu de philosophes ont insisté avec autant de fermeté que Nietzsche sur cette différence radicale qui existe entre ce qui est vrai et ce qui est cru vrai : « La vérité et la croyance que quelque chose est vrai : deux univers d’intérêts tout à fait séparés l’un de l’autre, presque des univers opposés ; on arrive à l’un et à l’autre par des chemins fondamentalement différents », écrit-il dans L’Antéchrist. Foucault, alors qu’il n’a jamais traité que des mécanismes, des lois et des conditions historiques et sociales de production de l’assentiment et de la croyance, en a tiré abusivement des conclusions concernant la vérité elle-même.
Sur la vérité, l’objectivité, la connaissance et la science, il est trop facilement admis aujourd’hui – le plus souvent sans discussion – que Foucault aurait changé la pensée et nos catégories. Mais il y a dans ses cours trop de confusions conceptuelles entre vérité, connaissance et pouvoir, trop de questions élémentaires laissées en blanc – et, tout simplement, trop de non-sens pour qu’on doive se rallier à pareille opinion. Quant au nietzschéisme professé par Foucault, il repose sur une lecture trop étroite, qui ne résiste pas à une confrontation attentive avec les textes, notamment ceux du Nietzsche de la maturité.
À l’écart aussi bien des panégyriques que des verdicts idéologiques, le philosophe Jacques Bouveresse, professeur au Collège de France, lit Nietzsche et Foucault à la hauteur où ils doivent être lus : avec les mêmes exigences intellectuelles qu’il applique à Wittgenstein et à Musil, et une libre ironie qu’il fait sienne plus que jamais.
Sommaire : I. L’objectivité, la connaissance et le pouvoir (conférence, 2000) ; II. Remarques sur le problème de la vérité chez Nietzsche et sur Foucault lecteur de Nietzsche (essai inédit, 2013-2015) : 1. Ce qui est connu doit-il être vrai ? ; 2. La connaissance sans vérité et la vérité sans vérité ; 3. La vérité pourrait-elle n’être pas la cause de la connaissance, mais son effet ?; 4. La volonté du vrai et la volonté de la distinction du vrai et du faux ; 5. Nietzsche, la « preuve de force » et la « preuve de vérité » de la foi ; 6. La volonté de savoir et la volonté de croire ; 7. La recherche de la connaissance véritable et de la vérité vraie ; 8. Peut-il y avoir une histoire de la vérité ? ; 9. Le concept d’« alèthurgie » : la vérité et ses manifestations.
Professeur au Collège de France, Jacques Bouveresse a publié de nombreux ouvrages de philosophie du langage et de la connaissance mais aussi sur des écrivains comme Robert Musil et Karl Kraus. Il est aussi l’un des principaux commentateurs français de Ludwig Wittgenstein.



dimanche 17 avril 2016

vidéo: Jacques Bouveresse, Nietzsche contre Foucault. Sur la vérité, la connaissance et le pouvoir





jeudi 7 avril 2016 , à la librairie Tropiques 


Jacques Bouveresse
Nietzsche contre Foucault 
Sur la vérité, la connaissance et le pouvoir
Agone
Bans d'essais
25 janvier 2016

Présentation de l'éditeur
Et si Nietzsche, dont Foucault s’est tant réclamé, parlait souvent contre lui ?
La plupart des expressions typiques de Foucault dans lesquelles le mot « vérité » intervient comme complément – « production de la vérité », « histoire de la vérité », « politique de la vérité », « jeux de vérité », etc. – reposent sur une confusion peut-être délibérée entre deux choses que Frege considérait comme essentiel de distinguer : l’être-vrai et le tenir-pour-vrai. Or peu de philosophes ont insisté avec autant de fermeté que Nietzsche sur cette différence radicale qui existe entre ce qui est vrai et ce qui est cru vrai : « La vérité et la croyance que quelque chose est vrai : deux univers d’intérêts tout à fait séparés l’un de l’autre, presque des univers opposés ; on arrive à l’un et à l’autre par des chemins fondamentalement différents », écrit-il dans L’Antéchrist. Foucault, alors qu’il n’a jamais traité que des mécanismes, des lois et des conditions historiques et sociales de production de l’assentiment et de la croyance, en a tiré abusivement des conclusions concernant la vérité elle-même.
Sur la vérité, l’objectivité, la connaissance et la science, il est trop facilement admis aujourd’hui – le plus souvent sans discussion – que Foucault aurait changé la pensée et nos catégories. Mais il y a dans ses cours trop de confusions conceptuelles entre vérité, connaissance et pouvoir, trop de questions élémentaires laissées en blanc – et, tout simplement, trop de non-sens pour qu’on doive se rallier à pareille opinion. Quant au nietzschéisme professé par Foucault, il repose sur une lecture trop étroite, qui ne résiste pas à une confrontation attentive avec les textes, notamment ceux du Nietzsche de la maturité.
À l’écart aussi bien des panégyriques que des verdicts idéologiques, le philosophe Jacques Bouveresse, professeur au Collège de France, lit Nietzsche et Foucault à la hauteur où ils doivent être lus : avec les mêmes exigences intellectuelles qu’il applique à Wittgenstein et à Musil, et une libre ironie qu’il fait sienne plus que jamais.
Sommaire : I. L’objectivité, la connaissance et le pouvoir (conférence, 2000) ; II. Remarques sur le problème de la vérité chez Nietzsche et sur Foucault lecteur de Nietzsche (essai inédit, 2013-2015) : 1. Ce qui est connu doit-il être vrai ? ; 2. La connaissance sans vérité et la vérité sans vérité ; 3. La vérité pourrait-elle n’être pas la cause de la connaissance, mais son effet ?; 4. La volonté du vrai et la volonté de la distinction du vrai et du faux ; 5. Nietzsche, la « preuve de force » et la « preuve de vérité » de la foi ; 6. La volonté de savoir et la volonté de croire ; 7. La recherche de la connaissance véritable et de la vérité vraie ; 8. Peut-il y avoir une histoire de la vérité ? ; 9. Le concept d’« alèthurgie » : la vérité et ses manifestations.
Professeur au Collège de France, Jacques Bouveresse a publié de nombreux ouvrages de philosophie du langage et de la connaissance mais aussi sur des écrivains comme Robert Musil et Karl Kraus. Il est aussi l’un des principaux commentateurs français de Ludwig Wittgenstein.



vendredi 1 avril 2016

écouter: Jacques Bouveresse, Nietzsche contre Foucault. Sur la vérité, la connaissance et le pouvoir


écouter: Jacques Bouveresse, Nietzsche contre Foucault. Sur la vérité, la connaissance et le pouvoir
Les Nouveaux chemins de la connaissance par Géraldine Mosna-Savoye, 01.04.2016

Jacques Bouveresse
Nietzsche contre Foucault 
Sur la vérité, la connaissance et le pouvoir
Agone
Bans d'essais
25 janvier 2016

Présentation de l'éditeur
Et si Nietzsche, dont Foucault s’est tant réclamé, parlait souvent contre lui ?
La plupart des expressions typiques de Foucault dans lesquelles le mot « vérité » intervient comme complément – « production de la vérité », « histoire de la vérité », « politique de la vérité », « jeux de vérité », etc. – reposent sur une confusion peut-être délibérée entre deux choses que Frege considérait comme essentiel de distinguer : l’être-vrai et le tenir-pour-vrai. Or peu de philosophes ont insisté avec autant de fermeté que Nietzsche sur cette différence radicale qui existe entre ce qui est vrai et ce qui est cru vrai : « La vérité et la croyance que quelque chose est vrai : deux univers d’intérêts tout à fait séparés l’un de l’autre, presque des univers opposés ; on arrive à l’un et à l’autre par des chemins fondamentalement différents », écrit-il dans L’Antéchrist. Foucault, alors qu’il n’a jamais traité que des mécanismes, des lois et des conditions historiques et sociales de production de l’assentiment et de la croyance, en a tiré abusivement des conclusions concernant la vérité elle-même.
Sur la vérité, l’objectivité, la connaissance et la science, il est trop facilement admis aujourd’hui – le plus souvent sans discussion – que Foucault aurait changé la pensée et nos catégories. Mais il y a dans ses cours trop de confusions conceptuelles entre vérité, connaissance et pouvoir, trop de questions élémentaires laissées en blanc – et, tout simplement, trop de non-sens pour qu’on doive se rallier à pareille opinion. Quant au nietzschéisme professé par Foucault, il repose sur une lecture trop étroite, qui ne résiste pas à une confrontation attentive avec les textes, notamment ceux du Nietzsche de la maturité.
À l’écart aussi bien des panégyriques que des verdicts idéologiques, le philosophe Jacques Bouveresse, professeur au Collège de France, lit Nietzsche et Foucault à la hauteur où ils doivent être lus : avec les mêmes exigences intellectuelles qu’il applique à Wittgenstein et à Musil, et une libre ironie qu’il fait sienne plus que jamais.
Sommaire : I. L’objectivité, la connaissance et le pouvoir (conférence, 2000) ; II. Remarques sur le problème de la vérité chez Nietzsche et sur Foucault lecteur de Nietzsche (essai inédit, 2013-2015) : 1. Ce qui est connu doit-il être vrai ? ; 2. La connaissance sans vérité et la vérité sans vérité ; 3. La vérité pourrait-elle n’être pas la cause de la connaissance, mais son effet ?; 4. La volonté du vrai et la volonté de la distinction du vrai et du faux ; 5. Nietzsche, la « preuve de force » et la « preuve de vérité » de la foi ; 6. La volonté de savoir et la volonté de croire ; 7. La recherche de la connaissance véritable et de la vérité vraie ; 8. Peut-il y avoir une histoire de la vérité ? ; 9. Le concept d’« alèthurgie » : la vérité et ses manifestations.
Professeur au Collège de France, Jacques Bouveresse a publié de nombreux ouvrages de philosophie du langage et de la connaissance mais aussi sur des écrivains comme Robert Musil et Karl Kraus. Il est aussi l’un des principaux commentateurs français de Ludwig Wittgenstein.



vendredi 8 janvier 2016

Rencontres avec Jacques Bouveresse, autour de son livre Nietzsche contre Foucault. Sur la vérité, la connaissance et le pouvoir


Rencontres avec Jacques Bouveresse, autour de son livre Nietzsche contre Foucault. Sur la vérité, la connaissance et le pouvoir 

Les prochaines rencontres seront ajoutées au fur et à mesure , mise à jour le 23.02.2016


vendredi 12 février 2016 à 19h30
à la librairie Atout-Livre
23 bis avenue Daumesnil
Paris 12e

jeudi 10 mars 2016 à 20h
à la librairie Le Livre
24 Place du Grand Marché
Tours

mercredi 30 mars 2016 à 19h
à la librairie Le Livre Écarlate
31 rue du Moulin Vert
Paris 14e

jeudi 7 avril 2016 à 19h30
à la librairie Tropiques
63 Rue Raymond Losserand
Paris (14)

Jacques Bouveresse
Nietzsche contre Foucault 
Sur la vérité, la connaissance et le pouvoir
Agone
Bans d'essais
25 janvier 2016

Présentation de l'éditeur
Et si Nietzsche, dont Foucault s’est tant réclamé, parlait souvent contre lui ?
La plupart des expressions typiques de Foucault dans lesquelles le mot « vérité » intervient comme complément – « production de la vérité », « histoire de la vérité », « politique de la vérité », « jeux de vérité », etc. – reposent sur une confusion peut-être délibérée entre deux choses que Frege considérait comme essentiel de distinguer : l’être-vrai et le tenir-pour-vrai. Or peu de philosophes ont insisté avec autant de fermeté que Nietzsche sur cette différence radicale qui existe entre ce qui est vrai et ce qui est cru vrai : « La vérité et la croyance que quelque chose est vrai : deux univers d’intérêts tout à fait séparés l’un de l’autre, presque des univers opposés ; on arrive à l’un et à l’autre par des chemins fondamentalement différents », écrit-il dans L’Antéchrist. Foucault, alors qu’il n’a jamais traité que des mécanismes, des lois et des conditions historiques et sociales de production de l’assentiment et de la croyance, en a tiré abusivement des conclusions concernant la vérité elle-même.
Sur la vérité, l’objectivité, la connaissance et la science, il est trop facilement admis aujourd’hui – le plus souvent sans discussion – que Foucault aurait changé la pensée et nos catégories. Mais il y a dans ses cours trop de confusions conceptuelles entre vérité, connaissance et pouvoir, trop de questions élémentaires laissées en blanc – et, tout simplement, trop de non-sens pour qu’on doive se rallier à pareille opinion. Quant au nietzschéisme professé par Foucault, il repose sur une lecture trop étroite, qui ne résiste pas à une confrontation attentive avec les textes, notamment ceux du Nietzsche de la maturité.
À l’écart aussi bien des panégyriques que des verdicts idéologiques, le philosophe Jacques Bouveresse, professeur au Collège de France, lit Nietzsche et Foucault à la hauteur où ils doivent être lus : avec les mêmes exigences intellectuelles qu’il applique à Wittgenstein et à Musil, et une libre ironie qu’il fait sienne plus que jamais.
Sommaire : I. L’objectivité, la connaissance et le pouvoir (conférence, 2000) ; II. Remarques sur le problème de la vérité chez Nietzsche et sur Foucault lecteur de Nietzsche (essai inédit, 2013-2015) : 1. Ce qui est connu doit-il être vrai ? ; 2. La connaissance sans vérité et la vérité sans vérité ; 3. La vérité pourrait-elle n’être pas la cause de la connaissance, mais son effet ?; 4. La volonté du vrai et la volonté de la distinction du vrai et du faux ; 5. Nietzsche, la « preuve de force » et la « preuve de vérité » de la foi ; 6. La volonté de savoir et la volonté de croire ; 7. La recherche de la connaissance véritable et de la vérité vraie ; 8. Peut-il y avoir une histoire de la vérité ? ; 9. Le concept d’« alèthurgie » : la vérité et ses manifestations.
Professeur au Collège de France, Jacques Bouveresse a publié de nombreux ouvrages de philosophie du langage et de la connaissance mais aussi sur des écrivains comme Robert Musil et Karl Kraus. Il est aussi l’un des principaux commentateurs français de Ludwig Wittgenstein.



jeudi 27 mars 2014

en ligne: La reconstruction de la raison. Dialogues avec Jacques Bouveresse, Sous la direction de Claudine Tiercelin

La reconstruction de la raison
Dialogues avec Jacques Bouveresse
Sous la direction de Claudine Tiercelin
Philosophie de la connaissance
Collège de France
2014

Note de l’éditeur
Ce livre est issu du premier colloque organisé en France autour de la pensée et de l'oeuvre de Jacques Bouveresse. Il s'est tenu les 27, 28 et 29 mai 2013 au Collège de France, à l'initiative de Claudine Tiercelin (chaire de Métaphysique et philosophie de la connaissance). Les vidéos de ce colloque sont accessibles sur le site web du Collège de France (à la page de Claudine Tiercelin). 
La raison était supposée autrefois constituer ce qui unit les êtres humains. Elle n'a plus à présent de forme unitaire et dominante ; elle est au contraire fragmentée en une multitude de rationalités diverses, réelles ou supposées telles, qui coexistent de façon conflictuelle. Parmi les philosophes qui ont le plus compté au cours du XXe siècle, bien peu ont été des défenseurs de la raison et des Lumières ; et certains de ceux qui ont exercé (et continuent encore aujourd'hui à exercer) l'influence la plus considérable ont été ses adversaires declarés. Notre époque a même été confrontée à un processus d'"irrationalisation de la science", dont certains de nos maîtres à penser postmodernes ont essayé de nous convaincre qu'elle n'était en aucune façobn le produit exemplaire de la raison et de l'effort pour tendre à une connaissance objective de la réalité.
On peut néanmoins percevoir depuis quelque temps, à des signes divers, qu'au lieu de tenir la raison pour responsable de la plupart des maux de notre époque, il se pourrait bien que la seule solution qui s'offre désormais à nous soit de nous décider à lui accorder réellement une nouvelle chance. Jusqu'à quel point et à quel prix la raison peut-elle espérer réussir à reconquérir au moins en partie le rôle qu'elle a joué autrefois comme faculté d'unité et d'universalité ? C'est une entreprise évidemment difficile et problématique, qui suppose notamment que l'on ait répondu de façon suffisamment claire et convaincante à la question de savoir ce qui peut être conservé et ce qui doit être abandonné dans l'héritage des Lumières.

en ligne sur OpenEdition Books:


Les raisons de croire et les raisons d'agir

Aude Bandini
(De quoi) Alexis Alexandrovitch est-il coupable ?

Croyances irrationnelles et responsabilité épistémique

Jean-Matthias Fleury
Souveraineté de la raison

Les voies de la raison. Métaphysique, analyse conceptuelle, littérature

Catrin Missellhorn
Les idées métaphilosophiques de Musil 
Entre le naturalisme philosophique et la philosophie comme littérature

Quel rationalisme?

Conclusions

Claudine Tiercelin
Raison et sensibilité



(source: OpenEdition Books)

vendredi 8 mars 2013

Colloque: La reconstruction de la raison. Dialogues avec Jacques Bouveresse. Collège de France, Paris – 27, 28 et 29 mai 2013

 
 
Chaire de Métaphysique et philosophie de la connaissance
Professeur Claudine Tiercelin
Colloque La reconstruction de la raison

Dialogues avec Jacques Bouveresse

Collège de France, Paris – 27, 28 et 29 mai 2013

*

Lundi 27 mai

9 H/9 H 15
Claudine Tiercelin (Collège de France)
Ouverture
9 H 15/10 H 15
Pierre Wagner (Université Paris1– Panthéon – Sorbonne)
Tolérance et rationalité
10 H 30/11 H 30
François Clementz (Aix – Marseille Université)
Métaphysique du rationalisme, rationalité de la métaphysique
11 H 30/12 H 30
Catrin Misselhorn (Universität Stuttgart)
Romanticism Naturalized. From the Paradoxes of Self-reference to the Non-Ratioid Domain

*

14 H/15 H
Christian Bonnet (Université Paris1 – Panthéon – Sorbonne)
Lichtenberg ou les Lumières inquiètes
15 H/16 H
Kevin Mulligan (Université de Genève)
De la sottise, du pharisaïsme et de l’intérêt
16 H 15/17 H 15
Jacques Bouveresse (Collège de France)
Le désir, la vérité et la connaissance : la volonté de savoir et la volonté de vérité chez Foucault
17 H 15/18 H
Discussion générale

Mardi 28 mai

9 H/10 H
Pascal Engel (EHESS)
La diversité du domaine des raisons
10 H 15/11 H 15
Stéphane Chauvier (Université Paris – Sorbonne)
Un décisionnisme épistémologique est-il possible ?
11 H 15/12 H 15
Jean-Marie Chevalier (Collège de France)
Y a-t-il un rationalisme à la française ? Vuillemin, Granger, Bouveresse

*

14 H/15 H
Roger Pouivet (Université de Lorraine)
L’irrationalisation de la religion
15 H/16 H
Aude Bandini (Université de Montréal/ Université du Québec à Montréal)
De quoi l’acratique épistémique est-il coupable ?
16 H 15/17 H 15
Manfred Frank (Universität Tübingen)
Politische Aspekte des neufranzösischen Denkens
17 H 15/18 H
Discussion générale

Mercredi 29 mai

9 H/10 H
Louis Pinto (CNRS, EHESS)
Le sociologue, la raison et l’histoire
10 H 15/11 H 15
Benoit Gaultier (Collège de France)
Le champ scientifique, le progrès de la connaissance et l’exercice de la philosophie
11 H 15/12 H 15
Sophie Djigo (CURAPP, Amiens)
« Rationaliser l'action » : du sujet empirique à l’agent rationnel

*

14 H/15 H
Jean-Jacques Rosat (Collège de France)
User de sa raison en philosophie
15 H/16 H
Jean-Matthias Fleury (Lycée Gérard-de-Nerval, Noisiel)
Souveraineté de la raison
16 H 15 – 17 H 15
Claudine Tiercelin (Collège de France)
Raison et sensibilité
17 H 15/18 H
Discussion générale. – Clôture

(Merci à Jean-Jacques Rosat pour l'info)